In the recent article, “How new global charities are beating ‘faith-based organizations’ at their own game,” Allison Schnable describes how many Americans are surpassing the help of mega-organizations and finding alternative ways to “do” personal charity on a global level. Individuals are looking toward grassroots international non-governmental organizations (GINGOs), that often reject the label of being “faith based” or “religious” even though there are often strong religious connections.
Schnable’s description of charity-driven individuals strongly relates to Liisa Malkki’s analysis of the “needs” of aid workers in her book, The Need to Help: The Domestic Arts of International Humanitarianism. Malkki presents an alternative perspective of aid work by focusing on the aid workers and the needs they bring to their work, specifically how aid workers also serve the needs of aid workers. In a review of the book, Monika Krause writes that Malkki “challenges the idealised descriptions of heroic aid workers and describes them as driven by both ordinary and extraordinary professionalism, by boredom, and by their need for personal and professional development.”
In both Schnable’s article and Malkki’s book, we are reminded of the unintended impacts of “good intentions.” This reminder is especially important during the holiday season. It is always necessary to be reflexive and critical about volunteerism and the problematic effects of defining other’s needs for them, in part by deciding a priori who is framed as being “in need.”
Dans le récent article, «Comment les nouveaux organismes de bienfaisance mondial battent les «organisations confessionnelles» à leur propre jeu» Allison Schnable décrit combien d’Américains dépassent l’aide des méga-organisations et e cherchent des voies alternatives pour « faire »la charité individuelle sur un niveau mondial. Les individus cherchent à travers les organisations non gouvernementales internationales de base (GINGO), ceux qui rejettent souvent l’étiquette d’être «basées sur la foi» ou «religieuses» même s’il existe souvent de fortes connexions religieuses.
La description de Schnable des individus charitables est fortement liée à l’analyse de Liisa Malkki des «besoins» des travailleurs humanitaires dans son livre, The Need for Help: The Domestic Arts of International Humanitarianism.
Malkki présente une perspective alternative du travail d’aide en mettant l’accent sur les travailleurs humanitaires et les contributions qu’ils apportent à leur travail, en particulier comment les travailleurs humanitaires répondent aussi aux besoins de leurs pairs.
Dans une revue du livre, Monika Krause écrit que Malkki «conteste les descriptions idéalisées des travailleurs humanitaires héroïques et les décrit comme entraînés par le professionnalisme aussi bien ordinaire et extraordinaire, par l’ennui, et par leur besoin pour le développement personnel et professionnel. Dans l’article de Schnable et dans le livre de Malkki, on nous rappelle les effets inattendus des «bonnes intentions». Ce rappel est particulièrement important pendant la période des Fêtes. Il est toujours nécessaire d’être réflexif et critique sur le bénévolat et les effets problématiques de la définition des besoins des autres pour eux, en partie en décidant a priori qui est qualifié comme étant «dans le besoin».